lundi, mars 27

Change.


Jeudi. Les 20 ans. Dur d'assumer.
Le soir. Pub avec JM et Aurélie. C'était bien. Cher mais bien.
On a parlé. Beaucoup.
Fumé. Pas du tout.
Bu. Tout avis reste personnel.

Vendredi devait se conclure en beauté par la soirée entre amis. Il n'a pu venir à cause d'une gastro pas assez soignée. Et moi j'ai failli pleurer. Fêter mes 20 ans sans lui c'était inconcevable. Et pourtant je l'ai fait.
On n'a pas annulé. Elles avaient commandé spécialement un gateaux.
Alors les gens sont tous arrivés en retard. Demandez d'être à l'heure à un parisien est une infamie que seuls les provinciaux peuvent se permettre.
Et on commence à boire. Un peu.
On rigole le temps que tout le monde arrive.
Il y avait des gens en trop. Comme une personne qui manquait.
Mais une soirée géniale. A ne plus savoir où donner de la tête.
A penser fort fort au champagne qui nous attend en fin de repas.
Et rigoler. Encore.
Parce que ça fait du bien.
Et ça se termine. Doucement.
Je le rejoins. Il est plus d'1h du matin.

On se caline parce qu'on en a besoin. De se retrouver. De se sentir. De se savoir. D'être nous deux.
Le réveil est plutôt difficile. Je ne veux pas quitter ses bras, mais ma vessie en a apparemment décidé autrement, et c'est en grimaçant que je lâche ses bras.
Sa mère m'emmène faire les magasins l'après midi. Elle veut m'acheter un appareil photo. Le magnifique Fuji S5600. Qu'il est beau. Et qu'on applaudi.
*applause*

Le weekend se finit aussi vite qu'il a commencé.
Ce matin a commencé le stage. Et là c'était dur.
Déjà la bonne femme dans la rue qui n'a tellement pas écouté que je lui ai dis bonjour, me répète sans arrêt "bonjour" pour que je lui redise à nouveau afin qu'elle réponde à ma question.
Je trouve enfin l'endroit et Mr le maitre de stage.
Et voilà qu'on me désigne un ordinateur. Tout vieux qu'il est. Mais comme toute warrior je vaincrai.
Oh non, ça n'est pas la prise de tête qui sévi là bas dedans. Plutôt baba est autres idées sympas du genre.
Vient le moment où on me donne mon sujet de stage.
Et là...
...c'est le drame !
Il s'agit d'utiliser, en niveau bac+3, un logiciel que je n'ai pas touché depuis plus de deux ans.
Primo, j'ai un bac+2 tout frais et pas encore acquis [je vous rappellerai polimment Monsieur le Maitre de stage que je suis chez vous afin de le valider][non pas que je ne veuille pas apprendre][mais osez me donner de la matière][pas de la chiotte de chiffres incongrus]
Secondo, je n'ai jamais maîtrisé ce logiciel [mais pourquoi faut il que ça tombe sur moi ?][parce que sinon ça aurait été sur vous ?]
Terzio, je ne serai pas rémunérée à pondre des oeufs pourris au jour le jour, soit un oeuf par jour. A raison de deux mois et demi de jours de ponte. J'aurai bel et bien à mon actif une bonne soixantaine de pourriture dans le panier made in farmer.

Alors j'ai lutté pour retenir mes larmes de ne pas savoir faire ce que l'on me demandé.
Le tuteur a finalement deigné appelé Mr le Maitre de stage qui me l'a sitôt passé.
Tuteur : "ça va ?"
Moi {chevrotante} : "non"
Tuteur : "tu penses t'en sortir ?"
Moi : "non"
Tuteur : "tu vas un peu maîtriser matlab ?"
Moi : "pas du tout"
Tuteur : "bon ok, repasse moi ton maitre de stage"

Et au lieu de sécher mes larmes avec un joli mouchoir blanc, on m'a tendu un chiffon qui aurait servi à nettoyer trois ou quatre cheminées que ça ne m'aurait pas étonné, tout en me lancant : "nous avons convenu que tu resterais sur ce sujet durant une semaine et que l'on ferait le point à la fin"
...ah...
Alors je vais pondre et pondre durant toute une semaine.
Parce que ma mère elle a baisé un coq, je serai le punk de service.
Merci maman.

On me dit que demain les grèves rendront les aller et retour difficiles, alors que je dois demander la clef du bureau aux pompiers. Ca ne fait même pas un jour et on me donne l'autorisation de l'avoir en ma possession... gnaiiiin je vais tout péter !
Et en sortant le pompier me fait un sourire kawaï qui ferait rager les gars de chez colgate. Je pense donc arriver en avance demain matin pour devoir, à mon grand malheur, aller lui demander les clefs. Monde cruel.

Et pendant que je demande à Alien ce qui, entre la mayounouze et le ketchup, se marierait le mieux avec le poisson pané, je songe à mon futur et magnifique appareil photo numérique qui ne devrait plus tarder. Aaaah toutes les jolies [voui j'ai déjà ma propre opinion sur mes futurs chefs d'oeuvres] photos que je vais enfin pouvoir montrer ... uuuh je veux !

J'ai plein d'images en tête. Et au moins un demi milliard de perspectives.
[pour plus d'informations, veuillez contactez Popeye qui a suivi la journée alarmante du tout bas de la France en grève]


mercredi, mars 22

What is that chiiiiiiiiiiiiiiiteuh ?

C’est assez perturbament (si ça existe … depuis que je l’ai inventé. Puis entre nous ça faisait mieux dans la phrase. Enfin entre nous ou pas. C’est l’expression à Chimène ça … bref si je continus dans la parenthèse vous allez vous perdre. Je disais donc que … [cf suite après la parenthèse ci après] ) stressant.

Je travaille dans le service informatique, forcément hein. On appelle les gars de ce même service pour tout et n’importe quoi sans avoir suivi les consignes préalables. Type :

« l’imprimante marche pluuuuus »
« vous l’avez éteinte et redémarrée ? »
« non … »
« bon faites le. »
*patiente*
« oh ça marcheee. »


Ou la dernière fois y’en a un qui appelé pour avoir comme petite icône dans l’aide de word un pot de fleur et non un chat ou une autre bêbête du style. C’est affligeant.

Enfin pour en revenir à ce que je voulais dire (non j’ai pas oublié *sniark* [sniark si je veux !] [oui je m’excite toute seule derrière mon clavier XD ] ) … voilà ce qu’il se passe inlassablement. Le bureau est composé de cinq « sous bureaux » (non on passe pas sous le bureau … *blasée* ). Alors quand une personne extérieure au service appelle et que ça ne répond pas dans un bureau, elle appelle sur un autre des téléphones du bureau, si ça ne répond toujours pas, elle change de téléphone … et ce jusqu’à avoir fait tous les numéros de téléphone du service ou que l’un des informaticiens se décide à répondre. C’est de la traque pure et dure … et de bon matin… c’est purement stressant.

Han vous saviez qu’une licence (donc pour un seul poste) de word ça coûte 400 euros ?

Enfin pour clore ce post de bonne humeur matinale (si parce qu’on dirait pas mais je suis d’hyper bonne humeur lol … l’après sabbat, le mail de 5 pages formatées, tout ça …), le dernier « discussions Sylvie/Gwen ».

S > C’est un style pas trop mal le style Hippie … enfin je préfère le style racaille
G > Han … racaille *blassitude intense* Oui mais le style Hippie la culture derrière c’est mieux. Peace and Love, John Lennon tout ça quoi …
S > Ah …
G > Tu connais pas trop le mouvement Hippie ou … ?
S > Bah euh … non pas tellement. Je vois le style mais c’est tout …
G > T’abuses là … Flower Power quoi !
S > *visage qui s’illumine* Aaaaaaah je connais ça !!
G > *soulagée*
S > C’est la phrase qu’il y a sur ma serviette de bain Betty Boop ! Je savais pas que c’était ça !
G > *va se pendre* … Betty Boop n’a rien à voir avec le mouvement Hippie. Flower Power … la révolution des fleurs tu connais pas ?
S > Si, à Jardiland.


mardi, mars 21

Y des jours comme ça...

Ou plutôt des semaines...

Je suis cachée sous ma couverture, je tremble de froid...l'ordi sur les genoux, ça réchauffe un peu ou plutôt ça me donne l'impression d'avoir moins froid.

Je sens que j'ai de la fièvre, je me connais, je sais quand je suis malade. Je suis incapable d'avaler quoi que ce soit et je tremble de tous mes membres.

Je commence aussi à réfléchir et à parler en espagnol ce qui est plutôt mauvais signe.

Je repense à il y a quelques heures, le chef qui pousse un soupir et me regarde en me demandant ce qui pourrait arriver de pire cette semaine...

Je crois que j'ai trouvé...

Ah merde...

On est que mardi...

dimanche, mars 19

Le Jour le plus long...

...ou comment trouver des titres de merde...

Je devrais plutôt parler de la semaine la plus longue...qui a commencé par une déception amicale et professionnelle, enchaînée par des heures de travail, de discussion et de fatigue grandissante...

Et puis des bonnes choses quand même, comme un concert plus que sympa malgré une tendance croissante à l'agoraphobie, des heures passées à discuter et cette impression de retrouver les filles, de me rendre compte qu'elles ont beaucoup changé elles aussi et en bien...d'avoir envie de les suivre dans un pub avant de réfléchir et de commencer à flipper à cause de la foule fort probable due à la Saint Patrick...

Chaque jour a été affreusement long cette semaine, chaque heure, chaque minute avait son pesant de fatigue, de problème...

Hier soir à minuit j'ai levé les yeux vers le chef, j'ai souris et je lui ai dit "ça y est, on a vaincu". Il a soupiré, hoché la tête et s'est servi une énième bière tandis que Mathieu papotait à coté de nous.

J'ai presque réussi à oublier cette impression d'avoir été au bord de la noyade cette semaine, subermgée de partout, réalisant tout ce que j'avais à gérer, tout ce que je pourrais jamais contrôler...et apprendre à l'accepter.

Accepter l'idée que bientôt je me retournerais et j'aurais personne...le néant absolu...et que je saurais me débrouiller.

Et je me suis décidée...Je partirais en vacances en mai...toute seule...à Londres, rien que moi et moi...Et cette idée me fait peur et me fait sourire...

J'ai hâte...

Demain c'est lundi, une nouvelle semaine toute neuve, sans tache, sans problèmes...

Ca va aller...

Point.

Bientôt terminé. Enfin soulagée. Et même si les insomnies persistent, je sais que je vais enfin pouvoir prendre du temps pour recommencer à dessiner.

Hier soir, soirée billard avec les potes à Van sans Van ... uh !
Entre les batailles avec la poudre bleue, la guerre des queues, les blasages on line, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer. Honnêtement c'est ce qu'il me fallait pour compenser de n'avoir pas pu redescendre.
Puis se fut le tour du co-pilotage avec Greg pour rentrer. Pas un seul loupé ! Et oui, comme quoi, quand les filles sont à la conduite ça ne peut que bien se passer XD ... femme au volant, danger permanent XD [ouéééé, j'espère ramener une demi douzaine de beauf sur le blog][uhuh]

Ensuite, question purement philosophique à vous grandes prêtresses qui me connaissez... les gens avec qui j'étais hier m'ont demandé si ça allait bien avec mon homme, simplement parce qu'il ne vient jamais en sortie avec moi. Je me demande vraiment où est le rapport ?!
Sachant qu'il déteste les lieux enfumés et qu'il préfère aller à des concerts ou se genre de choses, je comprends tout à fait qu'il ne vienne pas. Mais les gens ne voient pas celà comme moi, et encore faudrait il que leur avis m'inquiète. Et si j'en parle, je suppose qu'inconsciemment c'est le cas.
Je me dis que le fait de prendre nos distances n'est pas plus mal. Pouvoir enfin sortir seuls chacun de son côté nous a fait beaucoup de bien. Même si au fond il demeure certaines choses qui rendent la digestion assez rude, alors que le propre de ce problème réside dans le pourquoi du comment les gens viennent à penser que Lui et moi c'est pas top.
Avons nous fait une erreur à vouloir prendre des distances au niveau des sorties ? Etait ce une volonté mutuelle de prendre du recul ? Ou simplement un moyen pour pouvoir se lacher d'une manière différente que lorsqu'on est ensemble ?
Mais merde. Ca ne regarde que moi. Et je suis perdue. Et pourquoi j'écoute les autres ?

Enfin.

Parallèlement à ça, je commence à m'habituer à ne plus retourner à Avignon. Ne plus voir mes amis devient une lassitude que je comble assez aisément avec les amis de Van, même si, pour moi, il persiste un doute.
Il est vrai qu'ils sont très gentils, et même plus que ça.
Il est vrai qu'on délire bien ensemble, et ça n'en rend les soirées que plus agréables.
Il est vrai que je risque de ne plus voir ceux d'Avignon d'ici à juillet.
Mais au fond je me demande si je peux les oublier. Et si c'était le cas, qu'adviendrait il de nous ? Comment pourrais-je oublier 4 ans en 1 ?
J'ai peur de retourner chez moi et d'avoir ce regard vide, ces pensées absentes et d'arriver à en regrette ma vie à Paris.
Je me sens de plus en plus comme un sac à dos que l'on trimballe de ville en ville, qui observe, rigole, pleure, rigole à nouveau, mais ne pleure plus, qui ne sait pas trop quoi faire alors suit le mouvement et regarde de haut ce qu'il se passe en faintant de vivre à pleine envie le moment présent.

Ca devient dur de trop penser. Quasi irrespirable même.



PS : just for you my tween tower.

jeudi, mars 16

Best Of Sylvie.

On marchait dans la rue et sur notre gauche une bande de squatteurs.
Gwen > oooh des skatoss !!
Sylvie > Des scatos ? Des cathos ? Hein ?? Pourquoi tu parles de cathos ? Y’a pas d’église là …
Gwen *éclate de rire* > j’ai pas dit cathos mais skatoss
Sylvie *tente de reprendre la prononciation du mot* > Skatoss … intéressant comme concept … ça fait un peu skittles aussi là, les bonbons tu sais ?
Gwen > Oui des skittles sur des planches à roulette, ça fait de suite très sérieux …



J’enlève mon polaire et le met autour de la taille.
Sylvie > ah j’me disais bien que tu devais avoir chaud avec ton truc noir épais là
Gwen *en train de le nouer autour de la taille* > oué mais là comme ça, ça fait un peu paillou … enfin s’pas grave, j’ai la flemme de le prendre à la main.
Sylvie *perplexe* > Tu sais que tu sors vraiment beaucoup de mots bizarres toi ?



On parlait des ex à la demoiselle et impromptument (pourquoi word il aime pas ce mot ?) elle me sort :
Sylvie > ça me fait de la peine pour eux
Gwen > pourquoi tu dis ça ?
Sylvie > j’sais pas, ça me fait plaisir de le dire, comme une envie subite
Gwen > hmm … c’est pas grave hein, on t’en veut pas.



-(^o^)-

.. ~(^o^)~

….. ^(^o^)^

….… >(^o^)<




On arrive à l'EMSAM et là me vient alors une question à teneur hautement existentielle. J'en fais donc part à mon accolyte :

gwen > dis moi, les traillis qu'ils portent tous, ce sont bien des tenues de camoufflage à la base non ?
sylvie > ben oué, ils se cachent dans les fourrés avec ça normalement
gwen > pk ils en mettent tous alr qu'ils travaillent dans les bureaux ? ils se camoufflent pour passer inaperçue là aussi ?


On va en parler à une de nos supérieures (qui est très très sympa entre nous soit dit) qui nous répond : c'est au cas où il y ait une attaque subite. On va se jeter sous le bureau et - son visage se décompose petit à petit - on sera camoufflé par la non concordance des couleurs entre nos traillis et la couleur du bureau



Voilà ... ça ... c'est fait.

En anEmie totale. Va se coucher.

mardi, mars 14

gwen > ça doit être chiant d'être cantinière.
sylvie > hein ?
gwen > être cantinière comme la dame là bas *geste de la tête*, ça doit être chiant
sylvie > cantinière ... j'aime bien. j'apprends des mots tous les jours avec toi
gwen > *rictus nerveux* hmm et comment tu disais pour désigner les dames qui faisaient la cuisine à la cantine quand tu étais petite ?
*blanc*
gwen > les dames qui font la cuisine à la cantine ?
sylvie > bah oué
gwen > *perplexitude absolue*

Laure, ma soeur, il faut qu'on fasse un concours entre Van et Sylvie ... la fille à la girafe disparue et la fille aux remarques stranges. Et dire que des comme ça j'en ai à profusion dans la journée ...

lundi, mars 13

...

On ne ventera jamais assez les bienfaits et les mérites de la musique ...

Mais elle a quand même osé appeler ma ratte Barby ... *blasitude perplexico effrayée ON*

dimanche, mars 12

Kill Rock'N Roll


Je ne comprends pas ce qui m'arrive, et pour la première fois de ma vie, je m'inquiète pour moi car je ne me reconnais pas.

Je ne dors plus, je deviens insomniaque. Moi qui aime tant dormir me voilà dépendante des heures longues et pénibles passées à se tourner et retourner dans son lit.

Je mange moins. Dès que j'avale quelque chose j'ai immédiatement envie de le vomir à cause d'un mal de ventre innomable.

J'ai des poussées de stress et des envies de pleurer inopinées. Les plaques rouges commencent à fourmiller sur mes bras pour ensuite venir me démanger quand la stupide envie leurs en prend.

Vous allez dire que cela est totalement à l'ouest du problème, mais voilà, je sais qu'il y a un lien. Ma soeur comprendra sûrement au moins ce point. Ne passent donc sur le lecteur wmp soient des chansons calmes [très][trop], soient des chansons à l'évidence à l'opposé des musiques enfantines. Il n'y a pas de juste milieu. [[tout ou rien]][[blanc ou noir]]

Et si quelqu'un avait un remède efficace contre les courbatures qui m'assaillent depuis deux semaines, je lui serais éternellement reconnaissant.

Alors non, je ne suis pas amoureuse pour ceux qui se croiraient intelligents à me lancer cette réflexion idiote. Même si c'était le cas, j'y suis tombée dedans depuis toute petite. ... Enfin, à vrai dire, depuis plus de deux ans.

Et si les exams approchent, je ne crois pas qu'ils suffisent à me rendre ainsi. Je ne me suis jamais permise de faire un tour dans cet état.
Les décisions d'études de l'année prochaine doivent jouer un rôle prononcé là dedans, mais je n'ai ni le temps, ni la foi, ni le courage de me mettre à cette réflexion intense, et aussi sote soit-elle, je me dois d'y songer une fois que la masse de boulot sera accomplie.
Parce qu'avec un éventuel départ, c'est Lui et moi qui sommes touchés de plein coeur ... il en saigne rien qu'au fait d'y songer ... allez donc savoir ce qu'il fera lorsqu'il sera sur le fait accompli ...


samedi, mars 11

Petits, suicidons nous gaiement.

Oh Mary. Sweet Mary. My Mary.

Ce matin j'ai failli me faire virer de mon cours de sondages. C'était mon tout dernier cours de l'année [la semaine prochaine ce sont les partiels, alors fatalement je dis des trucs très peu intéressant, surtout lorsque je reste à racconter ma vie sur un blog au lieu de réviser][file vilaine fille][--oui il faut savoir devancer Popeye et soeur de moi parfois].

Puis je me suis dis que les gens n'avaient pas à faire autant d'efforts car parfois les paroles ne suffisaient pas à réconforter. Alors ta gueule.

Don't tell me why.

Suis-je énervée quand mes partiels arrivent ? ...mmh je ne sais point.

Et comme j'ai la flemme de sortir un bout de papier et que mon anniversaire approche, je vais faire la liste des jolies choses que j'ai en tête [pour vous donner des idées] :
- une baignoire [parce que ma douche a une fuite depuis que soeur de moi est venue][je ne sais pas s'il y a un rapport][mais ça lui permettrait de se faire pardonner]
- un sac de frappes
- un appareil photo übber cool [parce que je balise de quitter Paris et d'en oublier tous ces jolis souvenirs que j'ai récolté]
- un voyage en Laponie [parce que c'est cher et que ça fait classe dans un cv]
- une soirée avec mes meilleurs amis [ils ne s'achètent pas, mais les billets de train pour les faire débarquer, oui]
- une semaine de vacance [pour partir en Irlande avec Lui]
- un concert particulier de BBA, Deftones, Ed-Äke, Sigur Ross, et de toute ma mp3thèque
- une soirée billard
- un second cerveau [pour pouvoir me déconnecter de la merde que je produis si facilement chaque jour]
- un verre [je viens à l'instant de casser le quatrième de ma collection inhexistante]
- et ce rêve que seul Lui connait [et même que si je l'obtenais, je l'offrirais à ma grand mère par pur égoïsme d'amour]

...dans un grand bol de strychnine, délailler de la morphine, faire tiédir à la casserole un bon verre de pétrole ! ... oh oh ... je vais en mettre deux !!


jeudi, mars 9

Et puis...



... Juste un sourire...gratuit...qui fait un bien monstrueux...

On the road again...

Se remettre les idées en place...

Se remotiver pour le travail, se dire qu'après tout on devrait pouvoir s'en sortir...

Penser à prendre des vacances avec des gens qu'on apprécie...

Profiter de ce qu'on a à défaut de réver à ce qu'on pourrait avoir...sourire en pensant à ce qui va bien pouvoir arriver et essayer de faire au maximum pour que ce soit ce qu'on veut...

Et réfléchir un peu...mais pas trop... à l'avenir...

Et dormir...

mardi, mars 7

La boîte en fer.


Parce que si je dois dédier un texte à quelqu'un c'est bien à elle.
Parce que si je dois haïr quelqu'un je ne peux me permettre que ce soit elle.
Parce que si je dois ne plus l'aimer c'est que ce n'est pas moi.
Parce que si je dois lui dire au revoir ce sera pour bientôt la revoir.
Parce que c'est elle.

...et parce qu'aujourd'hui elle m'a fait pleurer.

Elle est arrivée. M'a pris la main. M'a dit de la suivre.
C'est ce que j'ai fait. Elle m'a tendu un sachet et une lettre.
Elle est repartie aussi vite qu'elle me les a donné.

J'ai pas compris tout de suite.
Juste son "c'est pour ton anniversaire .. un peu en avance" lancé en se retournant.

Alors j'ai regardé dans le sachet. La boîte en fer comme celle que toutes nos grands mères ont et qui leur sert de rangement à sucre, à dés à coudre, à pelotes de laine.
Dedans. Les madelaines au chocolat que j'aime tant. Une floppée de douceur qui vous arrive dans la figure alors que personne ne vous avait prévenu. Ingras.

Puis la lettre. C'est ça. La lettre. Ca s'est précipité.
Je l'ai ouvert. J'ai commencé à lire, et un bout de papier qui tombe. Je comprends pas. Un chèque d'un certain montant.
Et sa phrase "Je sais que pour toi, partir retrouver tes proches est quelque chose qui te tiens à coeur, tes yeux me le disent, tu n'as même pas besoin de parler. Je sais que ton rêve s'est écroulé samedi en apprenant la nouvelle, alors je te demande à ton tour d'accepter mon aide et donc ce chèque".
Et là j'ai compris. Elle a voulu m'offrir le voyage jusqu'à Avignon parce que je ne pouvais pas me permettre de claquer 80€ seule pour deux jours.
Les larmes ont commencé à couler.

Merde Van ... je ne te connais que depuis 2 ans et tu me prouves ton amitié comme si mon sourire était une flamme à tes yeux.
Non. Mais pourquoi toi tu as su ça ? Pourquoi tu l'as fait ? Tu voulais me faire sourire, et comme une idiote j'ai pleuré.
Je ne sais pas quoi te dire, sauf un "je t'aime" qui sortait du fond du coeur, parce que pour une fois "merci" ça ne voulait rien dire.
Tu m'as tendu tes bras. Je m'y suis jetée dedans comme une gamine qui vient de recevoir le plus beau cadeau qu'on ait jamais pu lui faire, mais qui le rend instantanément.

Sur ce coup je ne sais pas quoi te dire. Tu me cloues au sol. Tu m'aurais poignardé que ça aurait été plus facile à comprendre.

lundi, mars 6

Bla aussi tient...

C'est dur de s'y remettre...

De repartir au boulot après cette "soirée" hors du temps...quelques heures sans se prendre trop la tête, sans devoir jouer un rôle de plus en plus difficile dans la "vraie" vie...

Rire sans se poser de questions, apprécier la compagnie de gens que je ne vois pas assez malgré quelques petits points négatifs pas suffisamment importants pour me gâcher la soirée...

J'ai eu l'impression de voler quelques heures au monde réel, pas assez à mon goût...

C'est là que je me dis que j'ai besoin de vacances...de vraies vacances loin d'ici, de ma "vraie" vie...

Alors merci à vous les amis pour ce petit moment volé même si sur le coup ça me déprime un peu...

bla.


Ca devient dur. Très.

Non pas par le fait que les journées deviennent toutes les mêmes, je commence à en avoir l'habitude. Je me faisais une telle joie de rentrer chez moi, et après la déception de samedi je ne m'attendais pas à l'annonce d'aujourd'hui.

Le partiel de mardi est avancé.
Alors c'est mort pour retourner chez moi.

Alors la chute est inévitable.
Alors je capture à nouveau mes espérances.
Alors je ravale ma fierté et mes larmes. Et je me taie. Et je ferme ma gueule.
Pour éviter que ce ne soit encore plus dur.


Les bras posés sur mes genoux. Mon front affalé sur mes bras.
Je m'endors à côté d'elles trois.
Je ne rêve plus. Ne cauchemarde plus non plus d'ailleurs.
Parce qu'en dormant, c'est le seul moment où je ne pense pas.

dimanche, mars 5

No title

_______________________________________________________________________________

Voilà c’est fait.
Peut être devait est ce être ce dernier passage pour se dire « enfin sortie de là », quoiqu’il en soit, ça fait vraiment du bien. J’avais de l’appréhension de retourner à Paris, finalement ce fut une bonne chose, très bonne chose. Je n’ai pas pu réellement parler de tout ça avant un certain temps et n’y arrive qu’après coup, non parce que j’y repense avec un quelconque regret ou mélancolie … oh loin de là d’ailleurs … mais parce que je me rends compte de beaucoup de choses et ce n’est pas trop tôt.
Alors là, à l’instant précis je me dis « bon, Erin avait encore raison », mais Ririne, si tu lis ces mots, ne m’en veux pas, tu sais qu’au moment où tu m’avais dit tout cela, je n’étais pas apte à comprendre et réaliser. Mais ça aussi, tu le sais ;)
Dieu que l’amour rend con et aveugle … heureux, joyeux, triste aussi (principe du bien dans le mal et inversement … toujours), con et aveugle.
C’est malin ça !

Au départ je pensais parler longuement et explicitement de ces choses qui ont fait « tilt », finalement … aucun intérêt.
Je n’ai pas la moindre envie de me reprendre la tête sur des « je t’aime », pas envie de me sentir enfermée dans cette spirale, plus envie de ces foutues promesses ….
Juste une envie de …
vivre les choses comme elles viennent sans me prendre la tête
vivre au jour le jour et me contenter de ça
être bien là, vivre le moment présent et basta

Ça me désole de dire ça, mais je n’ai pas envie d’aimer à nouveau, pas de suite … certes ça viendra si ça doit venir car on ne contrôle pas cette partie de nous quoiqu’on puisse en penser. L’illusion de maîtrise fait déchanter bien des personnes.

Il m’a fait rire hier … on se pose à une table. On se regarde, j’ai compris, il veut le dire mais n’ose pas, j’insiste un peu, il sourit, moi aussi et se lance : « alors comme ça tu as jeté ton dévolu sur émi ? »
J’émets un soupir pensif puis un petit rire gêné :
« il s’est jeté tout seul, j’ai pas eu besoin de le pousser, il a fait ça seul comme un grand ».

Un peu plus tard « on appelle ça un coup de foudre ».
Et Laeti « ça fait du bien de te voir sourire comme ça et être heureuse ».

Promis j’essayerais de ne plus sourire niaisement sans raison en regardant dans le vide.
J’avais beaucoup de choses à leur dire à ces trois FAiens mais la fatigue m’a emporté et la soirée a commencé à défiler et je n’ai pas su par où commencer alors le silence a été de mise.

J’en ai marre d’écrire.

Elle est venue comme elle est repartie.


Après la semaine atroce passée à me désespérer de moi même et de la merde que je peux fournir, je suis fatiguée. C'est une déclaration affirmative.

Hier s'est évidemment très mal passé. Après avoir appris que je ne pourrais finalement pas retourner chez moi le weekend post-partiel, la grande blonde m'a fait une belle crise de larmes avec une jalousie sous-jacente.
Alors non, elle ne me connait pas. Parce que si ça avait été le cas, et peu de personnes s'y trouvent, elle aurait vu que moi non plus c'était pas le moment, que j'implosais de l'intérieur, et que j'avais envie de chialer ma race de cette rage que je ne pouvais revenir. Je n'aime pas me plaindre de ça, ni de tout ça, et encore moins pleurer ... alors pourquoi les gens cherchent-ils à tout prix à te faire verser des larmes chaudes et sans espoirs ?
A trop espérer, la chute est beaucoup plus difficile.
Une fois de plus je ravale le tout comme on engloutissait les bonbons étant gamins. J'avale et je la ferme. Et je digère. Doucement. Peut être pas vraiment sûrement.

Même que j'ai pu entrevoir un bout d'Emisphère. Même que ma soeur elle semblait contente de me laisser poiroter derrière. Même que moi et les fleurs contentes ça nous fait sourire. Mais chut parce que c'est beau.

Et hier soir cette sortie basket/crêpe/billard ... vraiment pas de fausse note, et c'était la soirée idéale face à la journée que j'avais passé.

Après un trajet somptueux dans la voiture de Greg (alias Doudou la crêpe) à chercher le gymnase où jouait Bast, nous sommes arrivés à la fin de la partie. A force d'avoir parcouru tous les gymnases de la ville, on a bien finit par le retrouver !
Et la crêpe ! La partie de fous rires. Et le regard de Greg. De jolis yeux. Et des vannes. Toujours. Il en faut. Et c'est ça le meilleur.
Enfin le billard. On y a retrouvé Mikky [oh si j'avais pu te déclarer un magnifique coup de point dans ton nez tellement j'étais énervée contre toi avant de te revoir]. Et c'était tout simplement génial. Non vraiment il n'y a pas de mots, sauf les sous entendus bateau que l'on peut créer en apprenant à jouer au billard. Même que, uhuh, je les ai blasé à leur faire deux/trois coups assez spéciaux. Qu'est ce que j'aime faire tomber les gens de haut quand ils vous croient inculte dans un domaine.
Alors ça a été tranches de fous rires, sur allusions sporadiquement amusantes.

Il n'y avait pas Lui. Et heureusement peut être. Je me dis qu'il n'aurait pas aimé. Que j'aurais dû m'occuper de lui toute la soirée. Que je n'aurais pas pu décompresser comme j'ai pu le faire. Est ce un crime de pouvoir m'amuser sans Lui ?


Pourquoi ai-je toujours ce mal à me détacher des soirées avec eux ? Après Rennes, c'est hier soir. Je perds tous mes mots pour décrire ce que j'ai vécu. Mais bordel, je suis pas habituée aux soirées sans fausses notes qui vous redonnent le sourire jusqu'à 3h du matin. On s'habitue facilement au bonheur parsemé vous croyez ?


Alors je vais prendre mes billets de train. Ou pas.
Sachant que Greg revient le 18 et que j'aimerais bien le revoir. Parce qu'il est génial au fond. Vraiment. Et que si je ne pars pas chez moi, je sais que je pourrais évacuer en jouant au ballet des phrases aléatoires.


Et là, j'ai alterné entre les pleurs et la banane.

J'aime.

vendredi, mars 3

/!\ WARNING /!\


Avis à la population …

Vous avez peut être déjà eu le message suivant en vous connectant sur desvies … ?

Si vous avez cliqué sur « ok » … bon courage XD

Cependant si vous n’avez encore cliqué nulle part alors surtout on se calme et on clique pas intempestivement. « Annuler » ? … moué non j’suis parano et j’vous conseille juste de cliquer sur la ptite croix en haut. C’est facile de faire un bouton « Annuler » qui gère une saloperie derrière en installation sur votre pc.

Voilà juste pour vous donner une idée de ce qu’est ErrorSafe ici proposé :

http://www.google.fr/search?hs=xBl&hl=fr&client=firefox-a&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&q=errorsafe&btnG=Rechercher&meta=cr%3DcountryFR

Juste en matant les titres vous comprendrez aisément qu’il ne faut pas toucher à cette petite bête.

A bon entendeur ^^

jeudi, mars 2

Soupir...

Attendre sans vraiment le faire...

Guetter en vain, sans aucune conviction...mais faire semblant au moins quelques instants de plus...

Sentir son coeur bondir et ressentir une vague déception...

Se rappeler le temps où on était surprise et où on souriait grâce à ça...

Se dire que c'est normal après tout, que c'est même une bonne chose pour son équilibre mais que ça fait plus de mal que de bien...

Et hausser les épaules d'un air un peu malheureux en espérant que ça va passer vite...

mercredi, mars 1

Amusant...

...comme le blog peut se réveiller d'un coup...tet une fin d'hibernation ou un truc du genre...
Enfin bref...

C'est étrange cette sensation qui m'a poursuivie ces derniers jours...l'impression d'être totalement submergée, de ne pas savoir par quel bout commencer à gravir la montagne qui se trouvait devant moi, le découragement qui me gagnait petit à petit...

Et mon tit coeur qui savait pas où il en était...qui est toujours pas bien fixé mais qui se fait une raison aujoud'hui...

J'avais l'impression de réussir à peine à me maintenir la tête hors de l'eau, qu'un pas de trop et je finirais par me noyer sans arriver à faire quoi que ce soit...

Les jours passaient, c'était de pire en pire...les seules auxquelles je me raccrochais n'étaient pas viables...je m'effondrais un peu plus...

J'ai entendu dire que j'étais blasée, depressive, fatiguée, chiante (enfin plus que d'habitude quoi), bizarre ou tout ce que vous voulez...j'étais juste en train de me noyer dans mon coin...à pas savoir où m'appuyer ni quoi faire...

Vous allez me dire "mais fallait venir me parler"...vous avez déjà vu quelqu'un qui se noie parler? Non, il essaie de garder son souffle pour se maintenir en vie quelques secondes de plus ... juste quelques instants, en espérant qu'il se passe quelque chose...

Et j'ai attrappé une branche...

Et je commence à reprendre mon souffle...même si c'est pas facile...c'est même épuisant...

Et je sens une grande tristesse m'envahir doucement...des vrais sentiments, pas quelque chose d'anesthésié comme j'ai pu l'être ces derniers jours...

Ca va aller mieux...ça commence déjà à aller mieux...enfin je crois...

Même si des choses me manquent et que j'ai l'impression qu'elles sont révolues...

Prendre les choses une par une, gérer chaque instant, chaque problème et se dire que tout viendra bien assez tôt...

Et essayer de se convaincre que non on est pas si insupportable que ça...

*soupir*

Je suis fatiguée...Vraiment...comme je ne l'ai jamais été...

Bad astronaut.


Ca faisait longtemps moi aussi que je n'avais pas aligné trois mots. Même par là où je faisais des infidélités je n'y vais plus pour une durée inderterminée[parce que le changement ça aide pas finalement][parce qu'on a besoin de son chez soi parfois aussi][parce que maintenant elle va mieux]

Et parce qu'il y en a qui sont morts pour moins que ça, je me suis dis que j'allais me faire un thé agrume avec lequel j'empoisonnerai bientôt ma grumelle [surtout qu'elle n'aime pas le thé][mais la tisane au sucre][..pardon..][le sucre à la tisane !]

Au plus j'ai du boulot, et au moins je m'en préoccupe. Je passe mes journées sur pc, et c'est là que je me dis qu'on était pas si mal que ça en STID. Et qu'est ce que j'aimerais faire une troisième année avec cette satanée promo. Même si ce sont des cons. Même s'ils sont tous faux culs. Même si je ne peux pas me les blairer. Et bien oui. Je veux une troisième année.
Parce que l'année prochaine je ne sais pas où je serai. Ni avec qui.
Une école d'ingé à Lille ? [public siouplé !][parce que pour te payer une privée, faut aimer se peler la peau du bas du dos sans vergogne][moi je n'ai qu'un économe à la maison][alors on fait avec]
Un iup à Toulouse avec soeur de moi ?
Ou MIAGE à la belle et tendre Sorbonne ? [parce que chéri de moi reste ici][et qu'après 1 an et demi à le voir tous autant, je me vois mal repartir sur nos premières bases]

Alors oui. J'ai peur.

A part ça j'ai un de ces mal de bide innomable ! Popeye aussi je crois XD
Mais vous inquiètez pas, on le vit bien.

Mes journées sont toutes semblables ces temps-ci. Le matin : cours. L'après midi : pc pour travailler. Le soir : manger puis rester à nouveau sur pc pour finir de travailler. Se coucher à minuit pour se lever 7h30 plus tard et recommencer fatalement le même scénario.
Je suis épuisée.
Sans compter les partiels qui arrivent dans moins de deux semaines. Que je n'ai toujours pas entamé les révisions. Tout simplement parce que je suis laminée en rentrant chez moi le soir. Que je n'ai pas la tête à me mettre aux révisions, ou plutôt à l'appréhension. Prenez ça comme vous voulez; moi je m'y retrouve.

Enfin voilà. Tout va bien.
Mis à part la fatigue.
Mais ça n'est rien.