dimanche, octobre 30

Et le temps qui passe...

Une bonne soirée hier soir...J'ai été contente de revoir enfin Blanblan, de voir/revoir sa bande de potes et tout et tout...

Même si j'ai été habitée par une étrange impression...

Retrouver ces gens que j'ai croisé au fil des années, les entendre parler de leur travail, me rendre compte que nos sujets de discussion ont évolué au fil du temps...entendre les anecdotes qui allimentent les discussions évoluer avec le temps et devenir plus..."adultes"...

Réaliser que moi aussi je parle plus volontier de mon travail, de ces activités de "grande personne", réalisant que je suis proche des fameux "25 ans" et plus...que j'entre dans un autre univers sans vraiment m'en rendre compte...

Et retrouver des visages perdus de vue depuis plus de trois ans...me rendre compte de tout ce qui a changé depuis ce temps-là...sourire en me rappelant de la personne que j'étais à cette époque...

Je commence à comprendre qui je suis vraiment...ou plutôt je me laisse enfin devenir qui je suis, totalement et sans crainte de ce fameux regard des autres...

Ce que je fais, je le fais pour moi et non pas pour un regard, pour un autre...

Je n'écoute plus que moi, que ce que me dicte ma conscience, mon instinct ou que sais-je encore...

Il parait que je ne suis pas tout le monde...à force de me l'entendre répéter je vais bien finir par le croire non?

vendredi, octobre 21

...

J'aime pas la pluie...

Ca me déprime...surtout quand je suis déjà déprimée à la base...

En même temps je me rappelle ce que je disais à François hier, qu'il faudrait bien un moment où je pète les plombs, trop de trucs cumulés en même temps...

En plus pleurer ça fait mal au crane...surtout quand on est déjà fatigué...

Pffff...

lundi, octobre 17

Ouhlalalala...

Semaine concours...

Eh bah moi je vous le dis, j'ai bien du perdre un ou deux neurones dans l'histoire hein !
Une semaine de concentration intense, à coup de 5H d'épreuves quotidiennes sur des sujets aussi marrants que "Comment décider en commun?" ou "Marchés publics et délégations de services publics"... Que du bonheur moi je vous le dis...

Heureusement j'avais une logeuse adorablement charitable, comme toute sa petite famille...

Heureusement j'avais des coups de fils, des textos de soutien réguliers...

Heureusement j'avais le week end IRL FA en prévision...

Tout ça pour dire que ça c'est fait, que j'attend les résultats et qu'en attendant je continue ma vie...

Je sais toujours pas trop où je vais et dans quelle étagère mais la fatigue que je ressens et réelle et d'un coté me fait plaisir...je ne suis pas fatiguée d'avoir rien fait mais justement d'avoir tout plein fait...et ça c'est une différence qui fait un bien monstrueux...

Moi j’dis, enfin moi j’dis, moi j’dis vous voyez (pour l’instant je dis pas grand-chose), mais moi j’dis, moi jeudi, moi jedy (je suis ton père kshhhhhhhhhhhhhh), moi JE dis (il en fallait bien un dernier pour la route) que la vie quand même, elle est profondément injuste.

Ce soir j’ai faim. Comme à midi d’ailleurs d’ailleurs. M’enfin on s’en fou un peu, c’est juste pour que l’article prenne plus de place, meubler un peu la conversation vous voyez parce qu’en société ça fait bien de savoir parler de-tout-et-n’importe-quoi-n’importe-où-n’importe-quand-n’importe-comment même si au fond ça ne veut rien dire. C’est important tout de même.
Tout ça pour en revenir au fait que la vie est injuste. J’ai acheté des cordons bleus (non pas des ficelles, les cordons bleus qui se mangent) (comment ça les ficelles ça se mange aussi ?) et je les ai donc mis au congélateur. A midi j’ai donc entrepris de me faire un cordon bleu. Je le sors du congel puis de son emballage et là … c’est le drame ! La crise ! L’hystérie qui se déchaîne ! L’imprévu qui aurait dû être prévu … parce que je le savais bon sang ! Je le savais ! J’ai oublié de descendre le niveau de refroidissement de mon congel … il était à fond et je devais le décongeler puis le baisser à une température moins iglooesque. Sauf que … j’ai oublié.
J’en ai vraiment marre de cette mémoire tout de même. J’oublis sans cesse, encore et toujours les choses. Et quand je note tout sur un papier pour ne pas oublier ? … J’oublis de regarder le papier.

Tout ça pour dire qu’à midi le cordon bleu a vite cuit parce que j’étais occupée et là ce soir, j’avais envie de m’en refaire un (c’est bien les pack de deux XD ). Sauf que ce soir, je n’avais rien à foutre. Je me suis donc retrouvé à regarder cuire mon glaçon de cordon bleu pendant 20 loooooongues et éternelles minutes. Je lui aurais bien fait la causette mais le seul moment où il a daigné parler, c’est lorsque je l’ai posé dans la poile (brûlante) et qu’il a crié « couiiiiiiiiiiiiiic » (si si, tout est possible).
Bref, 20 trépidantes minutes en tête à couche de pané avec mon cordon bleu et il était cuit.
Enfin voilà, un cordon bleu ça se mérite et j’ai (enfin) pensé à baisser mon congélateur.

Comme quoi, tout est bien qui fini bien.

mercredi, octobre 12

ya des gens qui ... et des gens que

Ce soir, dans "dessin de la vie", nous avons un aperçu des gens peu communs venus de ... jenesaispastropcommentlesdécrire !

Rien a déclaré, mais j'me fou des bombes usa.

Plus sérieusement, énervée je suis, dans tous mes états de lorsque je fais ma nana.

J'ai toujours connu ce genre de personnes toujours là, toujours présentes si vous avez besoin de parler. Oh oui, pour avoir le coeur sur la main, elles l'ont. Et bizarrement, je remarque que ce sont les plus naïves qui se retrouvent dans cet article [et merde si vous vous y reconnaissez aussi] [ça serait le but] [étrange].Des personnes comme on en rencontre tous les jours, même si je n'en ai connu que deux dans ma petite vingtaine point encore atteinte. Incompréhension face à ce mouvement, non pas de pollution, mais d'ennui moral.

Bizarrement, chez ce genre de personnes on trouve toujours un défaut, ce défaut majeur qui vous énerve au plus haut point parce que vous êtes un de ces sales personnes maniaques de remarquer les tics des gens :

Moi mon tic c'est de repérer les tics ! Ne suis-je pas toc ? En aimant regarder tic et tac, on apprends vite à se goinffrer de tuc...
Bref, imaginez ces fameux tuc que vous adorez temps : au bacon, au fromage, peu importe, on va admettre que vous adorez ça. Ca ne vous est jamais arrivé d'aimer un aliment à un point de ne pas vouloir le partager ? De désirer tellement vos tuc que chaque bouché en est exceptionnelle ? De l'avoir déjà entièrement dévoré des yeux avant même d'avoir payé le marchand ? De vous dire que, tellement l'envie est forte, cette fois ci vous vous goinffrerez comme un sale égoïste en vous cachant des yeux gloutons des paparazzis alentours ?

J'avoue je suis de ces gens là. Surtout, et évidemment quand il s'agit de pain au chocolat.
C'est sacré le pain au chocolat de 10h, tout comme celui de 16h, ou ce lui de n'importe quelle heure, peut importe c'est un PAIN AU CHOCOLAT ! Et encore, dans la situation dont je vous parle, que ce ne soit pas un pain au chocolat n'aurait pas d'incidence.

Oui, parce que je reviens aux personnes dont je voulais parler au tout début ! Oui ce genre de grapilleur, de pie, de chapardeur, de renard, de cigale, tout ce que vous voudrez ... ce genre de [allez, appelons les "piffres"] Piffres [z'au début, ils méritent la majuscule, oui parce qu'au début on ne remarque rien et on les aime bien] [attention ça a tendance a vite changer quand un pain au chocolat arrive dans les parages]

Voilà, que ces Piffres ne vont jamais s'acheter à manger, sous prétexte d'économiser [tient comme si j'étais la fille de rotchild][ça serait ennuyant, mais vive le fric][vive le fric qui ne fait pas le bonheur][qui ne fait pas le bonheur mais permet de s'offrir tous les pains au chocolat de la terre][mouahaha je vais conquérir la terre][bref]. Economisez mes enfants. Ce sont aussi toujours ceux qui n'ont jamais assez d'argent pour s'acheter les vêtements, alors tu leur avances toi comme un ptit con avec un coeur à en déborder les poches [oui les chevilles vont bien][comme les poches], et tu oses qu'à moitié lancer un "stp tu pourrais me rendre les sous que je t'avais avancé" (et plus vite que ça connard, je t'ai déjà dit que j'étais pas la fille de rotchild).

Bon. Je résume pour être un piffre :
- ne jamais avoir de thune sur soit
- être naïf au plus au point
- guetter le pain au chocolat de sa voisine

Dans tous les cas, ils te disent qu'ils n'ont pas envi d'aller s'acheter quelque chose, mais toi tu as trop la dalle, alors tu cours t'acheter un pain au chocolat. Evidemment, le piffre va toujours t'accompagner, car c'est ça la technique, toujours être là au moment des faits !Voilà que tu commences à peine à croquer dans ton nouvel acquis qu'il te regarde avec des yeux bavant et te demandent un "petit bout" ... raaaaaaaaah qu'est ce que ça a le don de m'énerver cette expression [désolé, crise du soir bonsoir] ... tes yeux s'ulcèrent d'un coup et tu lui donnes un bout parce que si tu le laissais piocher il t'en prendrait bien le quart !

Tu lui sors un petit "eyh oh gars, c'est pas un self par ici" [et merde rotchild non plus][au passage : les patrons c'est comme les cochons]. Pour seule réponse tu te contentes d'un sourire de personne à moitié gênée qui attend impatiemment que tu attaques le pain au raisins [oui car tu es gourmand][3615 taloula] pour voir s'il a le même goût que le pain au chocolat que tu viens a peine de terminer à grandes bouchées pour être sûr que tu en serais le seul bénéficiaire [de ce qu'il en restait faut dire...]. Ou sinon tu as la variante comme réponse : "je t'aide à maigrir" ... et là tu retiens ton souffle, tu mords très fort ta lèvre en serrant le point parce que, n'empêche, le vase il commence à déborder.

Et tu restes sur ta faim de vengeance, de grognement même si ça sert à rien de t'énerver pour un bout de pain au chocolat [oui mais si tu additionnes tous les petits bouts et bin...][ta gueule!]